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Situation de départ

La guerre contre les armées des morts a fait des ravages dans toute l'île de Bretagne.

Les derniers messages qui sont parvenus au comté de Whit font état d'une invasion globale.


 

Alba est sûrement la nation ayant été mise le plus en difficulté, les nombreux loch et tourbières dans les terres pictes ayant donné un avantage certains aux morts. Paradoxalement le salut vint de la mer, désormais les troupes Scots et Pictes tiennent les Orcades et l'île de Leodhias, coupés du reste de l'île ils attendent les ordres de Gareth McLeod.

Les forces de Britannia ont pu se préserver et tiennent fermement pied à pied contre les revenants. Pourtant ils restent coupés de leurs principaux alliés Scots et entourés de rivaux. Gageons que Elyr Ann Pendragon saura quoi faire pour mener la cavalerie sarmate à la reconquête du royaume.

Le Saint Empire de Byzance a pu faire venir du continent un contingent de cavalerie. Dumonia érigée en véritable place forte du Dieu unique est devenu la base d'opération de la puissance étrangère venue d'Orient. La foi et l'or devrait arriver à pousser leur mercenaire dans les terres pour vaincre les légions infernales.

L'île d'Hibernia avait été jusqu'à peu épargnée par le retour des morts. Mais les régions de Laighean et Ulaidh sont tombées, prouvant au peuple de Dana que le salut se trouve dans l'action et non l'attente. La flotte commence a être déployée pour aller vaincre le mal à la racine : en Bretagne.

Les envahisseurs Vikings s'accrochent au Gododdin comme un naufragé à une planche de salut. Malgré le faible nombre des guerriers sur la terre le soutien maritime de leurs navires leur permettent de tenir vaillamment la prise arrachée aux Borders, qui semblent vouloir le récupérer, même par delà la mort.

Le peuple Welsh ne ploie jamais paraît il. L'alliance soudée bien que récente et fragile entre les Saxons, les Frisons et les Cambriens de naissance, ainsi que beaucoup de superstitions à base de dragons sous les collines ont permis de tenir la ligne sud de Cuer Britannia. Mais jusqu'à quand ?

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